dimanche 11 janvier 2009

Voleur de poupée Gonflable

La police de la ville de Cairns, en Australie est à la recherche d’un accro aux poupées gonflables.
(sa préférée c'est "Jungle Jane")

D’après les forces de l’ordre, l’homme serait le responsable de trois cambriolages perpétrés dans le sex-shop «Laneway Adult Shop», au centre de la ville du nord-ouest de l’Australie. Il aurait aussi mis la main sur des caisses enregistreuses d’une boîte de nuit.
«Jungle Jane» est le modèle le plus prisé.
Au cours de sa visite dans le magasin réservé aux adultes, l’homme n’aurait soustrait que des poupées gonflables. Il en aurait volé cinq exemplaires lors de la première visite, avec une attirance particulière pour celle nommée «Jungle Jane», qu’il aurait volée à chaque fois. Après avoir enlevé les femmes en plastique, le pervers les utilisait, avant de les jeter dans les ruelles aux alentours des magasins visités.
«C’est très étrange. Il a pris les poupées avant de les gonfler, de faire ses petites affaires et de les laisser là», a raconté au quotidien Cairns post le propriétaire du magasin dans lequel le voleur a dérobé cinq exemplaires de la poupée «Jungle Jane».
Un trou lui permettait d'entrer dans les magasins.
D’après les images tournées par les caméras de surveillance, la méthode utilisée par l’homme pour entrer dans les magasins consistait à creuser une petite ouverture, dans le mur ou sous le toit. Il pouvait ensuite pénétrer dans les boutiques par cet orifice.
La police recherche actuellement activement l’homme dont elle a pu récupérer des échantillons d’ADN et des empreintes digitales.


Cela dit, il est évidement préférable de faire sa petite affaire dans un bout de plastique que d'agresser une personne... Reste que les propriètaires des boutiques ne doivent pas être très ravis, à moins que cela ne leur fasse une pub gratuite en boostant les ventes du modèle si tendance pour ce voleur maniaque.

Auteur: atk
Source de l'article: 20min.ch

jeudi 1 janvier 2009

Des sex shop gays du marais ferment boutiques!

Comme quoi la surmédiatisation du marché du sexe touche aussi le business gay, trop de boutiques pour un marché qui n'est pas extensible. Les mois, voire les années qui viennent, vont voir une épuration des boutiques du secteur, qu'elles soient en "dur" ou sur internet!

Le business gay semble, lui aussi, être touché par la crise. Selon la newsletter du site E-llico, de nombreuses adresses du quartier du Marais à Paris ont déjà disparu. Un sex-club (le TX), une soirée (le Hole next) et un troisième sex-shop (une boutique IEM) ont ainsi successivement fermé leurs portes. «Si quelques ouvertures sont venu ranimer la flamme, comme une nouvelle pâtisserie du groupe Gay Choc rue Rambuteau ou le cruising bar DMX, les disparitions s'enchaînent mois après mois», écrit le magazine en ligne, qui note aussi de nombreuses fermetures d'établissements en province. Selon le Syndicat national des entreprises gaies (Sneg), «le nombre de cessations d'activité des commerces gay et gay friendly est bien supérieur aux ouvertures de nouvelles enseignes, aussi bien dans la capitale qu'en régions».
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