mercredi 26 novembre 2008

Achat sextoys sur le Net

Mardi 25 novembre 2008, 11h28
Les produits que les Français souhaitent le plus acheter en ligne sans avoir encore sauté le pas sont les automobiles/motos (pour 6 % d'entre eux), les produits alimentaires (6 %) et les sex toys (5 %) * voici une bonne nouvelle, cela dit le "sautage de pas" est bien difficile pour beaucoup d'entre eux!!. Les produits qu'ils n'achèteraient jamais en ligne sont pourtant d'abord les automobiles/motos (30 %), puis les produits alimentaires (29%), les vêtements (12%), les chaussures (10 %) et l'immobilier/maison (9 %). Pour eux, les avantages des points de vente par rapport à Internet résident avant tout dans le fait de voir le produit (42 %), de le toucher (22 %) * nos fiches articles sex toys sont très détaillées, la possibilité d'essayer (21 %), les conseils sur le choix des sextoys (18 %) * nous en donnons et le contact humain (12ˆ%). Ces résultats sont issus de l'Observatoire des Consomm'acteurs, lancé par Altavia et OpinionWay dans le cadre de la Cité du Commerce et de la Consommation, qui se tiendra les 28 et 29 novembre à l'ESCP-EAP, à Paris.

Ne nous réjouissons pas trop vite de ces bonnes nouvelles, car entre l'intention d'achat et le passage à l'acte il y a un fossé que peu franchissent, c'est bien dommage pour l'épanouissement de la sexualité...
Un jour viendra peut être où les tabous ne seront plus aussi présents!

Source: Le Journal Du Net

vendredi 21 novembre 2008

Vous utilisez des Sextoys? Attention!

En prenant un raccourci: utilisation des sextoys et lubrifiants pour stimuler une libido défaillante = risque de cancer du sein?? Conclusions de cette enquête Canadienne à prendre avec circonspection.

L’intimité sexuelle des survivantes du cancer du sein au Canada fait l’objet d’un nouveau rapport
le 20 novembre 2008 :


Selon une étude récente, les jeunes survivantes du cancer du sein souffrent souvent de problèmes d’intimité sexuelle et relationnels et s’intéressent à employer des produits de stimulation sexuelle pour traiter ces problèmes.

L’étude a été publiée le 4 novembre 2008 dans la revue Cancer Nursing.
La recherche s’est déroulée à l’Indiana University grâce au soutien financier de la Patty Brisben Foundation.


Les chercheurs ont constaté qu’un nombre significatif de femmes se plaignaient de sécheresse vaginale, de douleur génitale, de symptômes ménopausiques prématurés, de fatigue et de problèmes de fertilité. De plus, les survivantes du cancer du sein éprouvaient de sérieux problèmes en ce qui avait trait à l’excitation sexuelle, au désir et à l’orgasme.


La plupart des femmes sondées disaient s’intéresser à employer des lubrifiants personnels et des lotions ou des huiles de massage pour atténuer leurs problèmes. La moitié des femmes s’intéressaient à utiliser des vibromasseurs ou des godemichés, et plus du tiers d’entre elles se disaient intriguées par les jeux sexuels.


Selon le sondage, les participantes se sentaient à l’aise de se procurer des produits de stimulation sexuelle dans le cadre de soirées de vente à domicile ou lors des sessions régulières de leur groupe de soutien pour survivantes du cancer du sein. Elles se disaient quelque peu moins confortables à l’idée d’acheter de tels produits dans un site Web, une librairie ou encore un magasin pour adultes.


Les infirmières, les médecins et les animateurs de groupes de soutien devraient donc envisager d’adresser leurs clientes à de tels endroits, ont conclu les chercheurs.
« Il est important de documenter les problèmes sexuels éprouvés par les survivantes, mais nous devons également tâcher de comprendre les diverses façons dont les femmes cherchent à corriger ces problèmes afin que leur vie intime soit confortable et plaisante et et qu’elles puissent améliorer leurs relations », a dit Mme Herbenick.


Source : Indiana University

mercredi 19 novembre 2008

Sex toys: pourquoi sont-ils rose bonbons?

Un article intéressant...La morale du sex-toy
Xavier Molénat

Les godemichés, c'est ringard, vive les sex-toys ! La magie des mots a récemment accompli un petit miracle en transformant les significations attachées à ce que l’on appelait techniquement les vibromasseurs-godemichés. Le changement d’appellation résume en fait, selon le sociologue Baptiste Coulmont, un processus de normalisation et de banalisation des gadgets érotiques. Dans les années 1970, le godemiché était une innovation porteuse des nouvelles valeurs sexuelles en vogue (orgasme partagé, réhabilitation de la masturbation), mais sans pouvoir les afficher. Il reste maintenu dans des espaces marginaux – et masculins – de la sexualité, qu’il s’agisse de la pornographie ou des sex-shops. On le trouve certes dans les catalogues de vente par correspondance, mais enrobé d’un discours publicitaire vantant ses bienfaits sur… la « circulation sanguine ». Bref, le godemiché n’est plus immoral, mais il est encore honteux.
Sa requalification en sex-toy, à la fin des années 1990, semble avoir à la fois dé-stigmatisé le godemiché, et ouvert à tout un chacun de nouveaux possibles en matière de sexualité. B. Coulmont distingue plusieurs processus à l’œuvre. En donnant un côté ludique, « récréationnel » à la sexualité, les sex-toys sont par exemple vecteurs d’une forme de marchandisation car ils « poursuivent l’entourage technique des relations sexuelles en les plaçant au sein d’une économie commerciale des loisirs ».

Mais apparaît aussi une tentative de féminisation de l’objet, notamment à travers le repackaging. Les magasins qui vendent les sex-toys (le plus souvent fabriqués à grande échelle en Chine) ôtent leur emballage standard et y substitue un nouveau, « codé » différemment : « Si le rose chair est vulgaire, le rose bonbon est féminin. Si une femme nue sur le paquet est vulgaire, le dessin d’une plume est féminin. » Une démarche évidemment étrangère aux sex-shops traditionnels.

Il est à noter que le mauve fait fureur aussi.(voir edit un peu plus loin)

Cette féminisation s’accompagne, chez ses promoteurs, d’une mise à distance de la pornographie, pratique typiquement masculine, jugée sale et malsaine (une ancienne responsable de magasin déclare par exemple : « On refusait de vendre des représentations basiques du pénis. C'était hors de question ! ») Le sex-toy étant lui placé du côté du sain, du beau, de l’éthique…
Objet apparemment subversif, le sex-toy est donc, selon B. Coulmont, « fortement producteur de normes sexuelles. Des normes aussi bien soumises à une logique économique, celle du marché et de ses clientèles, qu’à des attentes liées aux rôles de genre à peine subvertis ».



EDIT 2017: il s'avère que la couleur de prédilection en France est le mauve, et ce depuis des années.
Sans doute que le rose est un peu trop associé à la petite fille et à l'enfance. L'activité sexuelle étant une activité adulte, ceci pourrait expliquer cela. Je pense que les clientes ont gagné en maturité et ont fait ce choix.

B. Coulmont, « Le vibromasseur-godemiché : objet de plaisir ». Disponible sur www.espacestemps.net/document2135.html
B. Coulmont va publier (avec Irène Roca-Ortiz) Sex-shops. Une histoire française chez Dilecta en avril 2007.


Source: scienceshumaine.com

dimanche 2 novembre 2008

Obama mon Amour!

Après Sarah Palin, c'est au tour de notre Obama d'avoir son effigie sexy, je ne sais pas d'où provient ce gode qui semble être plus un objet de propagande électorale, qu'un sextoy. Cela dit ce "Big O" va sûrement trouver des adoratrices qui sauront en faire bon usage.

Les dimensions de Big O ne sont pas précisées, mais nul doute qu'elles sont supérieures à celles de Mc Cain et sa frite...

Si notre Nikky national avait la sienne, on peut imaginer le ravissement des utilisatrices, pensez donc: c'est infatigable et ça s'agite dans tous les sens.
Quant à la taille, faudra faire avec, on ne peut pas tout avoir non plus ;o(



samedi 1 novembre 2008

Sex toy: l'oeuf vibrant télécommandé "Cry Baby"

 C’est un des Sex Toy le plus novateur de ces dernières années. Revivez « Le déclic », après avoir inséré les piles dans l’œuf, quelques caresses feront monter votre excitation et hop on le met à l'intérieur... De quoi me direz vous? A votre avis?...
Le "Cry Baby" et oui c'est son nom, c'était aussi le nom de la pédale wah-wah Dunlop (pas les pneus il s'agit de Jim Dunlop) qu'utilisait Jimmy Hendrix. De quoi faire frémir les plus prudes de désir. Bref je m'égare...
Le principe est simple, ce magnifique objet ovoïde est en fait un vibromasseur, mais où est dont le bouton? Il n'y en a pas, pour le mettre en route il faut utiliser la télécommande, là j'en vois déjà qui ont un petit sourire en coin. Tout est permis, le fantasme de faire déclencher le joujou par son partenaire dans les endroits les plus incongru, c'est permis. En pleine réunion, au cinéma, au resto, dans le métro, dans la rue...
10 programme de vibrations, une portée de 10 mètres en terrain découvert et "Let's Play!"

C'est girlie, c'est fashion, c'est excitant, à vous de jouer.

lien vers le Cry Baby